19 octobre 2006
rage 2
je maçonnais le ciel comme un être plein de rage
du blanc ,du rouge roulait sous d'épaisses graminées
et la rue sentait l'alcôve ,et le boudoir l'odeur d'un puits sans fond
nos yeux s'altéraient encore dans les marges des encyclopédies que
des états emboîtaient le mauvais pas des bonnes oraisons .
La rue s'éternisait et je guettais au pied de la page
visant la hune splendide et vide .
Les fleuves charriaient ces ouvrages-outrages du temps passé Magritte
A la campagne ,pieds joints ,je souriais l'air con comme
un dimanche matin .
des rides larges et pleines boudaient le langage pour araser
le gris au front des illusions
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M
C
M
C