4 janvier 2007
Pamina
nous marchions et les mots s'effritaient sous nos langues ,et les façades noires s'ouvraient comme des paradictionnaires .La flûte enchantait encore nos pas que l'amour portait à bas la mort .La mort éternelle .Celle qui abrège nos souffrances .Les clochettes ,sur le front ,ourlaient nos fusils-mitrailleurs;et les montagnes se dispersaient sur le globe .
Nous dipso ,dipsomuttum ,dipsomuttumanes ,campions l'ivresse des steppes normandes .Le monde s'agrégeait plat et plein de bandonéons .La surprise se nichait dans les coeurs ;la phtisie galopait traquée ,menacée .
Courage ,courage Pamina
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